Avril 2025. Je m’appelle Claire, j’ai 30 ans, et je me suis lancée dans un délire un peu barge : tester l’outil de face swap NSFW sur swapfaces.app. Vous savez, ce site qui permet de coller votre visage sur des scènes… disons, pas très sages. J’avais zéro idée de ce que ça allait donner, mais j’ai tenu un genre de journal pendant une semaine. Voici ce qui s’est passé, entre ratés hilarants et trucs carrément bluffants.
Jour 1 : Bon, c’est quoi ce bazar ?
Premier jour, je découvre swapfaces.app. Je me dis : “Ça doit être compliqué, non ?” Pas du tout. Je prends une photo de moi (celle où j’ai l’air à peu près potable) et j’essaie de la swapper sur une scène d’un film d’action bien spicy que j’ai vu récemment. Résultat : un désastre. Mon visage est tout déformé, comme si j’avais été écrasée par un camion. Je rigole toute seule, mais je capte vite qu’il faut une photo avec un angle proche de la scène. J’essaie avec une autre, et là, c’est mieux : je me retrouve en mode héroïne de blockbuster, dans une scène NSFW ultra hot. Pas mal pour un début, mais je sens que je peux faire mieux.
Jour 2 : La cata intersidérale
Je me prends pour une pro et je tente un face swap porno avec une scène tirée d’un jeu vidéo, genre un RPG avec des persos sexy. Erreur fatale : j’utilise une photo où je fais une grimace. Le swap sort, et on dirait un monstre tout droit sorti de Silent Hill. Je passe dix minutes à me marrer devant mon écran. En fouillant sur le net, je tombe sur un forum qui parle de swapfaces.app (je crois que c’était sur XFR.fr) et qui conseille d’ajuster la netteté après le swap. Je retente en soirée, et bim, mon visage sur une elfe guerrière NSFW. C’est flippant de réalisme.
Jour 3 : Je commence à kiffer
Bon, là, je commence à piger le truc. Je décide de m’amuser avec une scène de comédie romantique, mais version NSFW. Je prends une photo sérieuse (genre CV LinkedIn, lol) et je la swap sur une actrice dans un décor de plage. L’outil gère super bien les couleurs et l’éclairage, et franchement, on dirait moi en star de ciné dans une scène hot. Je m’amuse à ajouter un filtre un peu dramatique, façon crépuscule, et le résultat est tellement pro que je l’enregistre direct. Par contre, je me rends compte que les selfies avec lunettes, c’est galère. Note pour plus tard : éviter les reflets.
Jour 4 : L’addiction
Je suis officiellement accro. Aujourd’hui, je teste un swap avec une scène de science-fiction, genre une pilote de vaisseau spatial dans une ambiance futuriste et NSFW. J’utilise une photo prise à un festival cosplay l’an dernier, et le rendu est dingue : mon visage colle parfaitement, et les détails (comme les néons du décor) sont hyper réalistes. Je passe une heure à peaufiner les réglages, à jouer avec les ombres et la saturation. À ce stade, je me dis que je pourrais presque faire des montages pour des potes, mais bon, je garde ça pour moi… pour l’instant.
Jour 5 : Le chef-d’œuvre (ou pas)
Dernier jour de mon “expérience”. Je veux frapper fort et je choisis une scène d’un clip musical ultra stylé, avec une vibe club NSFW. Je prends une photo où je fais genre mannequin, et je lance le swap. Le résultat ? Une tuerie. Mon visage dans une scène de danse sexy, avec des lumières stroboscopiques, on dirait un vrai clip. Bon, j’ai quand même un raté en essayant un autre swap avec une photo floue : ça donne un truc digne d’un mème. Mais globalement, je suis bluffée par ce que cet outil face swap gratuit peut faire.
En une semaine, j’ai appris deux-trois trucs : utiliser des photos nettes, bien aligner les angles, et ne pas avoir peur de tester des réglages chelous. Si vous voulez vous lancer dans des échanges de visages NSFW, swapfaces.app, c’est vraiment un terrain de jeu incroyable. J’ai vu des idées cool sur le blog, et je pense continuer à m’amuser avec. Allez, je retourne tester un swap… peut-être avec une vibe cyberpunk cette fois !
Info : Ce texte a été conçu avec de l’IA et peaufiné par nos soins pour qu’il soit au top.